Biographie Peter Koelewijn
Introduction
Au milieu des années 50, il fonde son premier orchestre composé de trois membres, des camarades d’école, qui plus tard ferons aussi partie de "Peter en zijn Rockets" (Peter et ses Rockets) ; Harry van Hoof, Charles Jansen et Peter v.d Voort. Presque à toutes les fêtes de l’école ils jouent aussi avec Anneke Grönloh qui étudie à au même collège qu’eux.
Peter savait, depuis déjà quelques années quelle direction il devait finalement prendre, après avoir entendu "Long Tall Sally" de Little Richard, ce qui pour lui fût un signe révélateur, cela devait devenir le Rock’n’Roll !! Plus tard, les disques d’Elvis, Chuck Berry, Buddy Holly, Bill Haley, Wanda Jackson, Connie Francis, Jerry Lee Lewis, The Platters, Richie Valens et tous les autres rockers de la première heure venaient renforcer son dévolue pour ce genre de musique. Mais sa source d’inspiration la plus importante fût la venue des soldats américains dans les années 50. Les gars étaient cantonnés dans les grosses bases américaines en Allemagne et venaient pendant les weekend avec leurs grosses découvrables à Eindhoven pour y boire, danser et draguer les filles. La plupart du temps ils s’installaient dans les cafés et ammenaient leurs disques avec eux, nouvautées américaines qui pour la plupart ne sortaient pas sur le marché Européen. Adolescent, Peter passe des heures à faire marcher les juke box qui jouent cette musique. Et plus loin il écoute chaque samedi matin le hit parade de l’Américan Forces Netword (AFN), le soir il écoute Radio Luxembourg. Juste après son diplôme il travail en tant que journaliste étudiant pour le journal d’Eindhoven, où 2 ans plus tard il termine sa formation. Mais fin 1959 sort sa première chanson: "Kom van dat dak af" |
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Peter Koelewijn (1960) |
Le groupe se rend donc avec batterie, amplis fait maison, guitares et saxophones par le train à Heemstede et durant le voyage Peter laisse entendre sa nouveauté au reste de l’orchestre.
La chanson est travaillée dans le train comme "extra" pour l’audition.
Ils enregistrent alors trois chansons: "De hele stad is gek en dol"; "Jenny" et donc celle juste travaillée "Kom van dat dak af". L’enregistrement dur trois heures, (un peu long pour Bovema) mais la guitare de Peter devait être réparée.
Les bandes enregistrées restent de coté jusqu’à ce que Co de Kloet (producteur du programme de radio immensement populaire du moment "Tijd voor Teenagers" chaque vendredi après-midi entre 17 et 18 heures) par hasard de passage, écoute les bandes et pense que Bovema (EMI) à intérêt à sortir le plus tôt possible "Kom van dat dak af" sur le marché.
De Kloet laisse le disque passer 3 fois en première par Dick Duster, le Dj du programme.
C’est le début 1960, aux Pays Bas et en Belgique, le hit est né !!
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Avec Anneke Grönloh (1960) |
Le groupe enregistre aussi la chanson "Ma , hij wil zo graag een zoen" avec la chanteuse Anneke Grönloh.
Cela commence à se gâter quand la maison de disques et le groupe veulent s’appuyer sur le succés des groupes grimpants comme les Beattles et les Rolling Stones. Un grand nombre de productions miraculeuses sont le résultat dont très peu réussit.
Le groupe change alors de composition, Claus Buchholz est le premier à quitter les Rockets, ensuite suivent Harry van Hoof et Peter v.d Voort. Jeroen Ophoff (batterie) et Hans Sanders (guitare/clavier) prennent place dans l’orchestre. Hans Sanders deviendra plus tard le leader du groupe Bots.
Phonogram veut entretemps, dans les années 60, volontiers la collaboration de Peter pour aider à produire le nombre sans cesse grandissant de nouveaux artistes. (Il commence d’ailleurs en même temps avec Hans Hemert).
La première production de Peter touche en plein dans le mile: "You’re the Victor" avec le groupe de Den Haag Q65 et de même pour la deuxième: "En nou ik" avec le chanteur d’Eindhoven Armand.
Les chansons qu’il écrit pour les autres ne passent non plus inapercues, en collaboration avec Hannie Meijler il écrit "Ik ben gelukkig zonder jou" et "Paleis met gouden muren" pour la chanteuse Connie Vandenbos.
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Avec Rob Out (Egbert Douwe) après l'enregistrement de "Kom uit de bedstee m'n liefste" (1968) |
Tout de suite après, Peter est demandé par DJ Willem van Kooten et le producteur Freddy Haayen pour travailler ensemble sur la création de la maison de production Red Bullet.
La première chanson de Peter Koelewijn en tant que producteur/auteur pour cette société devient tout de suite après sa sortie hit numéro 1: "Kom uit de bedstee m’n liefste" avec Egbert Douwe, pseudonyme de DJ Rob Out un ami travaillant chez Veronica. (radio néerlandaise).
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En studio avec Johan Cruyff (1969) |
Peter produit le deuxième disque du groupe Mr. Albert Show dont surtout le leider Bertus Borgers et Bonkie Bongaerts (clavier), plus tard Bots, feront encore parler d’eux.
Dans la même période, Peter travail aussi avec succès comme DJ chez Radio Luxembourg et fait des dizaines de"drive in show"comme DJ présentateur aux Pays Bas, en Belgique et en Allemagne.
En 1970, il arrête, quitte aussi Red Bullet, recoit une nouvelle offre de Phonogram pour travailler en production et reforme Peter en zijn Rockets.
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En studio avec Nico Haak (1972) |
Le magazine de musique OOR publie en 1972 une édition spéciale dédiée au "père du Rock’n’Roll Néerlandais Peter Koelewijn".
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L'enregistrement de "Angeline" dans le studio GTB à Den Haag (1973) |
L’ancien membre des Rockets, Hans Sanders, fonde le groupe Bots et Koelewijn produit 4 cd´s à succès.
Le groupe devient aussi très populaire en Allemagne avec plus de 500 000 vinyls vendus !
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Durant cette période, Peter lance un groupe féminin: Babe. Il écrit et marque le score de 16 au Top 40 des albums avec Babe, parmi lesquels "Please me, please do"; "Never listen to a bouzouki player"; "Drunken Sailor" et "Together in love again".
Jan Rietman à arrangé presque tous les disques du groupe. Avec les artistes de Born Free, parmi lesquels Rob De Nijs et Sakia & Serge (sous la responsabilité du producteur Will Hoebee), Peter enregistre le succès gigantesque: "Een heel gelukkig kerstfeest".
En même temps il travail en co-production avec Hoebee sur un Top 3 en Hollande et en Belgique avec la chanson: "Patrick mon chéri" de Kiki & Pearly. Cette chanson était en France chantée par Sheila. Il en résulte une entrée directement au Top 10 pour le groupe Kiki & Pearly…
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Avec Ria valk et les Rockets pour l'émmision spéciale "Koelewijn behoerft geen Krans" (1973) |
Peter Koelewijn stoppe pour quelques annés sa carrière en tant qu’artiste. Il arrête avec Born Free et s’occupe de Rocket Management, fondé quelques années auparavant à Hilversum, dont Ludo Voeten et lui même en deviennent les propriétaires/directeurs. Le producteur Hans van Hemert (entre autres Luv et Mouth & Mc Neal) travail à la direction mais se retire peu après. Le management défend aussi les intêrets des "non koelewijn artistes" comme Vulcano.
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En concert (1981) |
Entre temps Peter reprend le medley de Rod Stewart "Rock Heroes" et en tant que chanteur avec Jan Rietman et Tom Peters.
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En duo avec Bonnie Tyler (1984) |
Au milieu des années 80, il écrit pour Curtie & the Boombox, un groupe féminin, deux hits: "Let’s talk it over in the ladies room" et "Black kisses never make you blue". La dernière production entre même dans le hit parade américain.
Quelques années plus tard, Peter écrit et produit l’envoi de l’eurovision "Rechtop in de wind", chanté par Marga Bult. Elle termine à la 5e place.
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Représentation TV avec les Rockets (1986) |
Peter est demandé en ce temps comme DJ pour s’occuper d’un programme sur Radio 3, chaque mercredi matin entre 7 et 9 heures.
Il devient aussi pour 5 années durant le président du club de football de Soest, SEC.
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Gompie en concert en Allemagne (1996) |
Le groupe Pater Moeskroen fait le score de 2 au top 10 des hits avec"Roodkapje"et"Hela Hola"sous la tutelle du gars d’Eindhoven.
Au milieu des années 90, il enregistre pour rire, à la demande du directeur artistique Rob Peters et sous le contrôle musicale de John v.d Ven, une vieille chanson du groupe Smokie"Living next door to Alice"mais le titre devient "Alice who’s the X is Alice". Koelewijn le fait sous le nom Gompie et se fait remarquer cette fois encore dans l’Europe toute entière et même jusqu’au Canada. Il en recoit d ‘ailleurs beaucoup de disques d’or. A ce moment, il vend aussi ses parts de Rocket management à Ludo Voeten.
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Disque d'or au Canada pour Helmut Lotti, managers : Piet Roelen en Peter Koelewijn (1998) |
Du premier cd "Helmut Lotti goes classic", sont mis de coté, ne serait ce que pour le Bénelux (Belgique, Nederland, Luxembourg), un nombre record d’exemplaires prés à être distribués. Les 7 cd qui suivent sont aussi enregistrés sous la direction de production de Peter.
Helmut Lotti est tout de suite considérer comme un artiste à allure internationale et la vente totale de ces disques atteint même vite les 8 millions.
Pour le même Piet Roelen il produit (et leur écrit quelques chansons) Lisa del Bo et Michael Junior, deux artistes belges. Cela lui rapportera trois disques d’or.
Pour DINO records il enregistre, avec l’arrangeur Piet Souer, dans un studio d’Hollywood avec Engelbert Humperdinck des hits hollandais traduits en anglais. Même EMI Allemagne trouve cela assez bon pour le sortir sur le marché.
Sur la fin des années 90, Lee Towers chante "Mijn Feyenoord" une chanson écrite et produite par Peter pour en faire l’Hymne d’un club de football de Rotterdam.
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Peter Koelewijn (2002) |
Déjà depuis longtemps Peter Koelewijn veut se profiler dans d’autres branches du showbusiness hollandais. C’est pourquoi il devient membre de la direction de la fondation Conamus (qui s’occupe de la promotion des droits d’auteurs néerlandais sur le plan national et international) et de l’organisation des droits d’auteurs BUMA/STEMRA, de PALM (Professionnels Auteurs Musique Légère) et de GONG (association de producteurs).
Toutes ces années Peter a joué et joue après les différentes périodes "Rocket" comme artiste solo. En 2002 il commence avec succès une série de concerts avec les Rockets des années 70, Janus Toethuis, Frans Meijer, Nol Passon et Ad Damen, renforcé par le saxophoniste Jos Vos. Il n’en sera fait aucun enregistrement. Peter Koelewijn travail actuellement sur son nouveau cd solo.
Dans l' automne 2005 le chanteur a enregistré un DVD
avec son groupe Peter et ses Rockets.
En 2007 il recoit le prix prestigieux “Radio 2 Zendtijd Prijs”: (Zendtijd veut dire “temps d’’emmission) en raison de son importante signification pour la scéne musicale Néerlandaise.
Après 25 ans (!) Peter Koelewijn, 68 ans, sort un nouvel album "Een gelukkig man" (un homme heureux) en novembre 2009, avec seulement de nouvelles chansons. La derniere fois que cela s'est produit, c'était avec la sortie de "Diep Water" (Eau profonde) en 1984. Entre temps il avait sorti quelques diques avec des titres nouveaux mais toujours accompagnés de chansons déjà existantes. "Een gelukkig man" est un mixte de chansons sentimentales, sur l'amour, et sur toutes les choses que Peter a vecu wet vit encore aujourd'hui. L'album a déjà, avant sa sortie, recu beaucoup d'attention et surtout de l'appreciation.
Le chanteur compositeur recevait fin 2010, lors d'une grande soirée, le premier "Tros kompas oeuvre prix" comme éloge à son travail pour la musique aux Pays Bas.
2011 il a participé a huit transmissions du programme t.v. populaire „de beste zanger van Nederland“
Cette année là, il a aussi reçu une récompense de la chaine TROS "Sterren. NL" (stars.nl), car "Kom van dat dak af" a été choisi comme la chanson la plus appréciée dans le Top 100 National. Suivi, le 20 novembre 2011 du "Blijvend Applaus Prijs 2011" (prix "restant applaudi" 2011) remit à la Petite Comédie (de Kleine Komédie) à Amsterdam.